Catégorie : Section films des écoles

Synopsis

À 210 km de l’Est de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, précisément à Aniansué, dans le département d’Abengourou, des Kômians se battent pour la préservation de leurs traditions dans une société qui ne cesse d’évoluer. Prêtresses animistes et surtout guérisseuses traditionnelles, elles détiennent un art divinatoire qui leur permettent de conjurer du mauvais sort mais aussi de soigner les malades. Un savoir-faire enseigné dans la première école de féticheuses du pays qui existe depuis 1992 et reconnue par arrêt ministériel en 2014 située à Aniansué. Ce centre accueille plus d’une vingtaine d’élèves, chaque année dans le but de les former au bout de trois ans aux sciences occultes. À travers ce film, nous vous amenons dans l’univers de ces gardiennes de la culture bossoniste en pays Agni.

Biofilmographie

Othniel BONZI est un jeune acteur Ivoirien âgé de 21 ans. Né à Abidjan précisément dans la commune de Yopougon, il a pour addiction pour le cinéma. Il démarre par le théâtre depuis sa tendre enfance à l’église à travers des compétitions inter-églises où il a pu faire montre de son talent. Sa carrière d’acteur prend forme en 2018 avec les capsules Vidéos de la RTI « Gnanmankoudji Zekinan & Gazou la doubleuze » un produit du Journal Humour Gbich qui apparait dans l’émission Vendredi soir de Mariam Coulibaly. Il tourne ensuite en Juin 2020 dans la série réalisée par Alex OGOU « Oranges sucrées » en incarnant le rôle de Nando. En octobre 2020, il joue le rôle de Gambino dans le court-métrage ‘’Elément’’ de Will NIAVA. En Janvier 2021, il est appelé pour tourner dans un projet de court-métrage. Il joue le second rôle nommé Aristide dans la réalisation de Ray REBOUL et Francis WOLFF. En 2021, il fait sa première réalisation de film documentaire intitulée « Les Adoratrices du Boson » pour l’obtention de sa licence en audiovisuel spécialité Réalisation TV à l’ISTC Polytechnique de Côte d’Ivoire.

Synopsis

Adjoua, une petite citadine de 06 ans, suit son oncle pour aller connaitre son village. Dès ses premières heures, elle assiste pour la toute première fois au rassemblement de la population autour d’un crieur public qui venait de faire retentir le Gàn. Suite à ses nombreuses questions, son oncle décide de lui raconter l’histoire de cet instrument à la voix sacrée.

Biofilmographie

Altidor Gildas DOSSOU est un réalisateur, journaliste reporter d’images et monteur né le 22 Janvier 1996 à Lokossa. Après son Baccalauréat en 2015, il débute ses études en journalisme à l’Ecole Nationale des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, ENSTIC de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin, avant de virer vers le cinéma. En 2017, il réalise son tout premier film documentaire : Xwlakô, trésor d’un sol. Il fut cadreur et directeur photo sur plusieurs films dont « Chocs » d’Amoureck HOUNLEBA « le mirage de l’el dorado » de Marzouk BANKOLE ; Le jeton de Odilon ASSOU, Sachet de Eudon HOUESSOU. En 2018, Gildas DOSSOU revient sur la scène cinématographique avec deux courts métrages, une fiction « Ni lui, ni moi », et un documentaire « Art’iste ». En 2019, il obtient sa licence professionnelle avec le court-métrage documentaire « ELEGBARA, la butte sacrée ». L’année 2020, il réalise « Tumeur », un court-métrage fiction qu’il a co-écrit avec Dieu-donné TCHANI du TOGO. Il participe plus tard aux programmes Duban talent et Durban Film Mart en Afrique du sud avec son projet de film fiction « ASHA IBILE (notre identité) ». En 2021, Gildas DOSSOU s’inscrit en 1ère année de Master et sort un docu-fiction court-métrage qu’il a écrit et réalisé, « GÀN DↃ NŪ, le Gong a résonné ».

Synopsis

Osée et Boris supportent moins douloureusement le poids de la vie de chômeurs respectivement comme vendeur ambulant et livreur de journal tout en nourrissant l’espoir d’un lendemain meilleur avec des entreprises à succès. Alors que la vie les éprouve avec des difficultés, leur chemin de jeunes hommes fiers et dignes croise une organisation secrète sous l’égide d’un génie retenu prisonnier par un maître spirituel qui leur miroite le succès matériel. Pris en étau entre les contraintes financières et leur moralité, quelle issue et quel devenir pour chacun d’eux ?

 

Synopsis

Elisa et Anne deux commerçantes qui vendent le même produit la banane plantain au petit marché de trois quartiers. Anne a plus de clients qu’Elisa. Cette dernière constate que tous les clients partent chez Anne. Cette situation crée en elle un problème, un déséquilibre et par finir une jalousie s’installe. Une commerçante doit savoir recevoir la clientèle. C’est l’un des secrets du commerce. Elisa va-t-elle le comprendre ?

 

Synopsis

Akoua et Cyrille deux jeunes amoureux organisent un pique-nique pour célébrer les trois années de leur relation. Un test d’électrophorèse viendra changer le coup de leur histoire d’amour.

Biofilmographie

Joseph AVIMADJE est né le 19 Mars 1998 à Cotonou une commune située au Sud du Bénin. Après son baccalauréat série A2 obtenu en 2016, il étudie pendant une année la langue espagnole espagnol à l’Université d’Abomey-Calavi et étudie également pendant une année la langue chinoise à Conficius (Université d’Abomey-Calavi). Il s’inscrit en 2018 en Réalisation cinéma et Télévision à l’Institut Supérieur des Métiers de l’Audiovisuel. Il est auteur de deux (02) capsules vidéos : une réalisée en 2019 « Par ma voix sacrée » et l’autre en 2020 « Lumière Noire ». En 2020, il réalise « Femme en couleurs » son tout premier court métrage. En 2022 dans le cadre de la soutenance de sa Licence, il réalise Demain un court métrage traitant de la drépanocytose, une maladie du sang répandue dans plusieurs familles en Afrique, dans les Caraïbes ainsi qu’en Inde.

Synopsis

Ivan est un jeune de 9 ans qui vit avec sa mère. Un jour, il reçoit une nouvelle paire de chaussures venant d’elle qui disparaît mystérieusement pendant que lui et ses amis sont entrain de regarder un film. Il accuse alors son ami Junior allant jusqu’aux mains.

 

Synopsis

Mamadou Souaré (dit Modou) est un couturier sénégalais qui travaille à Marrakech. Son quotidien : gérer un salon de couture avec des sénégalais à son service. Jour après jour, ses employés exécutent avec minutie un véritable travail de fourmi en satisfaisant plusieurs commandes. Son salon de couture reçoit tout au long de la journée une clientèle très spéciale : des personnes de nationalité marocaine, sénégalaise, ivoirienne, italienne, etc. A travers le temps qui passe, on voit les liens particuliers qu’il crée avec ses clientes, ses employés. Des rapports parfois très joyeux et parfois conflictuels qui se tissent au fil du temps.

 

Biofilmographie

Fassar Maurice SARR est un lauréat de l’Ecole Supérieure de Cinéma du Maroc (ESAV Marrakech), spécialité Réalisation. Il a commencé à écrire des poèmes, des nouvelles et des romans quand il était très jeune. En 2013, il publie deux recueils de poème : Recueil de la fin du monde (éditions Nena), Premiers Vers (Edilivre).

Synopsis

Annaelle Moussavou, 24ans, timide, passionnée de numérique, travaille dans une entreprise informatique ou elle a du mal à s’affirmer. Elle se fait harceler par Obiang, un machiste, chef de son service, Annaelle refusant ses avances, ce dernier lui fait des coups bas qui lui vaudra la perte de son travail, mais Paul, son collègue secrètement amoureux d’elle l’aide à s’en sortir.

Synopsis

Victime d’un mariage arrangé, Sarah se retrouve possédée et considérée comme objet sexuel par son propre mari. Après sa première nuit de noce à Marrakech, tout ce dont elle aspire c’est de retrouver sa liberté à tout prix.

Biofilmographie

Alioune FALL est natif de Saint-Louis au Sénégal. Il est walo-walo et a vu le jour le 1er février 1998. Passionné de l’art dans toutes ses dimensions et de toutes ses couleurs, il a intégré, l’Institut Supérieur d’Enseignements Professionnels de Thiès dans la filière Cinéma pour deux années avant de poursuivre à l’École Supérieure des Arts Visuels de Marrakech. Il fait actuellement l’option Image Cinéma. Alioune FALL a eu l’occasion de participer à de nombreux projets de films de fictions ou documentaires au Sénégal. Il est le réalisateur du film de groupe « Pourquoi pas ? », de « Terre riche Terre mère » et de « Con-Trat » tourné dans la vallée du fleuve Sénégal. Au Maroc, hormis les films d’écoles, il a travaillé sur un long métrage « Hôtel de la paix » chez « Jacaranda ».