Mami Wata

Synopsis

Dans le village d’Iyi, les villageois vénèrent la divinité sirène Mami Wata et se tournent vers leur guérisseuse Mama Efe, l’intermédiaire entre eux et Mami Wata, ainsi que sa fille Zinwe, et sa protégée, Prisca. Lorsque les enfants commencent à mourir et à disparaître, Jabi, un habitant de la région, sème le doute dans la population. Bientôt, l’arrivée d’un seigneur de guerre rebelle, Jasper, fait pencher la balance en faveur de Jabi. Mama Efe est assassinée et Jasper en profite pour prendre le contrôle du village. Prisca et Zinwe doivent comploter pour sauver Iyi et restaurer la gloire de Mami Wata.

Biofilmographie

C.J. Obasi a réalisé des longs et courts métrages tels Ojuju (2014), Hello, Rain (2018), Juju Stories (2021), sélections officielles dans plus 80 festivals de cinéma, dont Göteborg, BFI Londres, Fantasia, Oberhausen et Locarno. En 2016, Obasi et ses coréalisateurs Abba Makama et Michael Omonua fondent un collectif de cinéma appelé Surreal16 pour défier le statu quo de Nollywood en créant des films de genre surréalistes qui repoussent les limites. Mami Wata est son tout dernier projet.

La plantation des planteurs

Synopsis

Dans une plantation d’Afrique de l’Ouest dans les années 60, une jeune fille déterminée doit lutter contre sa famille et la société pour préserver l’héritage de son défunt père, une plantation coloniale, au milieu des désaccords, des trahisons et des secrets. Une comédie musicale dramatique, une allégorie de la néo-colonisation.

Biofilmographie

Eystein Dingha est un jeune cinéaste passionné de 30 ans originaire du Cameroun. Il a écrit et réalisé les courts métrages comme Chicha (2016), Massa doctor (2017), Kalamba (2017), The Kaffi (2016) (docu-drama), Mbutuku (2019), Revenir (2020) qui été présentés à des festivals tels que le Festival international du film africain, le Slum Film Festival et Lake International Pan-African Film Festival. Son documentaire Clando a été vu sur Arte France et Allemagne.

Bantú Mama

Synopsis

Une française d’origine africaine parvient à s’échapper après avoir été arrêtée en République Dominicaine. Elle se réfugie dans le quartier le plus dangereux de Saint Domingue, où elle est recueillie par un groupe d’enfants livrés à eux-mêmes. En devenant leur protégée et figure maternelle, elle verra son destin changer de façon inexorable.

Biofilmographie

Originaire de Saint Domingue, Ivan Herrera est un réalisateur, producteur et scénariste dominicain. Passionnée de photographie, c’est à travers l’œil de sa caméra qu’il observe le monde et trouve son inspiration pour livrer son interprétation de l’Être Humain. Son court-métrage La Pasión Original, a reçu le prix du Jury au Festival de court-métrage TIFFxInstagram Shorts Festival en 2016. Il a aussi réalisé Pueto Pa’ Mi (2015) et El Ave Del Paraíso (2012).

Ashkal

Synopsis

Dans les jardins de Carthage, un quartier de Tunis à l’initiative dans l’ancien régime et dont les travaux ont été suspendus au début de la révolution, deux flics Fatma et Batal découvrent un corps calciné sur une des parcelles. Alors que les travaux reprennent lentement, ils commencent à enquêter sur cette affaire mystérieuse. L’enquête prend une tournure déroutante lorsque les faits se répètent.

Biofilmographie

Youssef Chebbi est né à Tunis en1984. Après des études d’art, il réalise deux courts métrages, « Vers le Nord » et « Les Profondeurs », sélections officielles de plusieurs festivals internationaux. En 2012 il co-réalise le documentaire « Babylon », lauréat du prix du jury au FID de Marseille. Le film a également été présenté au Musée des arts modernes (MoMA). « Ashkal » est son tout premier long métrage.

Abu Saddam

Synopsis 

Le chauffeur de camion expérimenté “Abu Saddam” obtient une mission de transport sur la route de la côte nord après avoir cessé de travailler pendant des années. Il decide qu’il veut accomplir parfaitement sa mission pour compléter sa réputation de travail, mais il fait face à une petite situation sur la route et les choses deviennent incontrôlables.

Biofilmographie

Nadine Khan a obtenu son baccalauréat en réalisation cinématographique à l’Institut supérieur du cinéma égyptien en 2001. Depuis, elle a réalisé plusieurs films de fiction, publicités, séries télévisées et vidéoclips. Son premier long métrage “Chaos, Disorder” a remporté le prix du jury au Festival international du film de Dubaï (2012) et le prix du meilleur film au Festival du Film d’Oran, en Algérie. Le deuxième long métrage de Khan “Abu Saddam” (2021) a été présenté en première au 43e Festival International du Film du Caire et a remporté le prix du Meilleur acteur avec Mohamed Mamdouh.