Fatima, une vie courte

Synopsis

« Fatima, une vie courte » commémore une jeune femme qui travaillait comme femme de ménage au Maroc et qui a été si maltraitée qu’elle est finalement décédée. On sait relativement peu de choses sur la victime. Le documentaire est plutôt le portrait d’un pays aux grands contrastes.

Biofilmographie

Hakim El Hachoumi a étudié la réalisation en France et en Russie. Après avoir obtenu son diplôme, il a participé à diverses productions théâtrales. En 2009, il a été l’un des fondateurs puis directeur de programme d’AIFilm – Festival du film arabe de Berlin. Il a aussi donné des ateliers  de cinéma dans divers pays et enseigne en tant que conférencier à l’Université libre.de Berlin. Hakim El Hachoumi a réalisé, en 2019, le documentaire de moyen métrage “Männer der Wüste: mit kamelhirten durch die Sahara“.

Doxandem, les chasseurs de rêves

Synopsis

De retour à Gandiol, son village natal au Sénégal, après avoir passé huit ans comme migrant en Espagne, Mamadou cherche à être une force positive pour sa communauté. Aidé par sa femme Laura et sous le regard bienveillant de Yaaye Khadi, la mère de Mamadou, ils commencent à partager et à construire avec leur communauté l’«utopie active» exprimée dans le livre que Mamadou a écrit pendant son périple. Le film accompagne Mamadou dans sa quête, pour essayer de découvrir son rêve.

Biofilmographie

Saliou Waa Guendoum SARR est un écrivain, compositeur et metteur en scène, son nectar contribue à l’universalité du langage, de la culture et des représentations. Il est convaincu que l’art peut apporter des changements et que le cinéma peut aider à reconstruire la façon dont les Africains se voient. Il réalise Masque démasque en 2008, Coup de filet en 2011 et Life saaraba illegal en 2016.

Au cimetière de la pellicule

Synopsis

Le réalisateur parcourt la Guinée à la recherche de « Mouramani » de Mamadou Touré, premier film réalisé par un Africain noir francophone en 1953, utilisant sa caméra pour se confronter à l’Histoire. C’est un film sur le cinéma, celui que l’on regarde et celui que l’on fait.

Biofilmographie

Thierno Souleymane Diallo a étudié à l’ISAG (Université des Arts de Guinée) à Dubréka. En 2012, il part au Niger pour faire un Master spécialisé en documentaire de création, puis une licence de cinéma documentaire au Sénégal. Il réalise plusieurs courts métrages pendant ses études. En 2015, Souleymane réalise son premier documentaire « Un homme pour ma famille » puis en 2018, « Nô Mëtî Sîfâdhe« . Il travaille également pour une télévision guinéenne. « Au cimetière de la pellicule » est son premier long métrage documentaire.

Amchilini, choisis-moi

Synopsis

Dans le canton de Boutefil aux portes du désert tchadien, l’iman accuse les femmes célibataires d’être à l’origine de la colère divine qui s’abat sur le village. Les chefs de villages décident d’organiser une cérémonie traditionnelle, l’Amchilini, qui consiste à obliger toutes les femmes non mariées à choisir un époux. Mais des voix s’élèvent, surtout chez les jeunes filles, pour s’opposer à ce qu’elles considèrent comme une atteinte à leur dignité et à leur liberté. Elles revendiquent leurs droits d’égalité et d’autonomie par rapport aux hommes.

Biofilmographie

Kader Allamine KORAréalise des courts métrages Notre séjour à Niamey, Fespaco 2013, Faire le Deuil. En 2016, il réalise un film documentaire long métrage La Promesse du Biram, qui a été sélectionné dans une dizaine de festival en Afrique et en Europe. Les courts métrages Portraits d’un jeune maraicher et l’islam et la planification familiale portent sa signature. En 2017, il réalise plusieurs magazines pour la télé nationale tchadienne remportant le Prix Dari Awards et le prix du meilleur réalisateur Tchadien en 2016.